A l’évidence, les propriétaires qui ont concrétisé leurs projets immobiliers à Paris, en 1997, avaient du flair. Les biens acquis à cette époque ont aujourd’hui cinq fois plus de valeur, dans le sens propre du terme. Il est d’ailleurs probable que Paris surpasse les prix de Londres sur le marché immobilier.
L’immobilier parisien a connu 400% de hausse depuis 1997. Sur la même période, l’inflation ne dépasse pas les 30% tandis que le CAC 40 connaît 90% d’amélioration, toujours sur 20 ans.
En ce qui concerne Paris, les notaires franciliens ont enregistré des chiffres explicites. Dans les trois premiers arrondissements parisiens, les prix au mètre carré est passé de 2 000€ à plus de 10 500€ en deux décennies. Parler d’une plus-value n’est donc pas déplacé.
Un nombre élevé de quartiers populaires ont été investis par des acquéreurs plus aisés. Ces zones autrefois défavorisées ont subi une nette amélioration : la qualité de vie, le standing des constructions… Dans le cas concret du 10e arrondissement, le mètre carré est passé d’environ 1 600€ à 8 200€.
Dans le 16e arrondissement qui fait partie des quartiers déjà chics à l’époque, la progression a été relativement plus calme si l’on se réfère aux prix aujourd’hui multipliés par trois.
En prenant conscience des plus-values, les propriétaires peuvent envisager d’empocher les bénéfices engendrés par leur achat d’il y a 20 ans. La progression se poursuit, comme en témoigne la moyenne de 8 300€ par mètre carré. Les estimations tendent à montrer que la moyenne de 8 500€ au mètre carré peut être accessible dès janvier 2017. Ce serait un record conséquent.
L’immobilier londonien est évalué à 10 500€/m². Paris n’en n’est pas si loin, surtout que le Brexit aura des conséquences sur le marché : -5% à -10% des prix selon des experts locaux. Une chute du côté britannique, une remontée du côté parisien, les experts aperçoivent un brillant avenir pour l’immobilier de Paris.
Il est probable que la capitale française figure bientôt dans la liste des villes les plus chères à l’échelle planétaire. Les prix de New York et Hong Kong ne sont pas inaccessibles si l’on se réfère à la plus-value exponentielle.
Rien ne permet d’affirmer qu’un achat en 2017 garantisse une plus-value aussi extraordinaire. Toutefois, les professionnels du secteur estiment que les communes limitrophes du Grand Paris ne manquent pas de potentiel.
Selon les classements établis par Meilleursagents.com, les 15 années à venir seront propices au secteur immobilier de Villejuif, Aubervilliers ainsi que Saint-Denis. Ces estimations se fondent partiellement sur l’excellent réseau de transport dynamique et étoffé dans ces zones. Par ailleurs, les prix qui oscillent entre 3 000€ et 4 000€ du mètre carré sont nettement plus accessibles que ceux pratiqués dans la capitale.
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A l’évidence, les propriétaires qui ont concrétisé leurs projets immobiliers à Paris, en 1997, avaient du flair. Les biens acquis à cette époque ont aujourd’hui cinq fois plus de valeur, dans le sens propre du terme. Il est d’ailleurs probable que Paris surpasse les prix de Londres sur le marché immobilier.
L’immobilier parisien a connu 400% de hausse depuis 1997. Sur la même période, l’inflation ne dépasse pas les 30% tandis que le CAC 40 connaît 90% d’amélioration, toujours sur 20 ans.
En ce qui concerne Paris, les notaires franciliens ont enregistré des chiffres explicites. Dans les trois premiers arrondissements parisiens, les prix au mètre carré est passé de 2 000€ à plus de 10 500€ en deux décennies. Parler d’une plus-value n’est donc pas déplacé.
Un nombre élevé de quartiers populaires ont été investis par des acquéreurs plus aisés. Ces zones autrefois défavorisées ont subi une nette amélioration : la qualité de vie, le standing des constructions… Dans le cas concret du 10e arrondissement, le mètre carré est passé d’environ 1 600€ à 8 200€.
Dans le 16e arrondissement qui fait partie des quartiers déjà chics à l’époque, la progression a été relativement plus calme si l’on se réfère aux prix aujourd’hui multipliés par trois.
En prenant conscience des plus-values, les propriétaires peuvent envisager d’empocher les bénéfices engendrés par leur achat d’il y a 20 ans. La progression se poursuit, comme en témoigne la moyenne de 8 300€ par mètre carré. Les estimations tendent à montrer que la moyenne de 8 500€ au mètre carré peut être accessible dès janvier 2017. Ce serait un record conséquent.
L’immobilier londonien est évalué à 10 500€/m². Paris n’en n’est pas si loin, surtout que le Brexit aura des conséquences sur le marché : -5% à -10% des prix selon des experts locaux. Une chute du côté britannique, une remontée du côté parisien, les experts aperçoivent un brillant avenir pour l’immobilier de Paris.
Il est probable que la capitale française figure bientôt dans la liste des villes les plus chères à l’échelle planétaire. Les prix de New York et Hong Kong ne sont pas inaccessibles si l’on se réfère à la plus-value exponentielle.
Rien ne permet d’affirmer qu’un achat en 2017 garantisse une plus-value aussi extraordinaire. Toutefois, les professionnels du secteur estiment que les communes limitrophes du Grand Paris ne manquent pas de potentiel.
Selon les classements établis par Meilleursagents.com, les 15 années à venir seront propices au secteur immobilier de Villejuif, Aubervilliers ainsi que Saint-Denis. Ces estimations se fondent partiellement sur l’excellent réseau de transport dynamique et étoffé dans ces zones. Par ailleurs, les prix qui oscillent entre 3 000€ et 4 000€ du mètre carré sont nettement plus accessibles que ceux pratiqués dans la capitale.
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Le Lease-back immobilier, ou cession bail, est une alternative qui permet aux entreprises d’obtenir des liquidités dans un délai court.
Malgré l’absence de la clientèle étrangère, le marché des biens d’exception résiste bien au contexte actuel car c’est une valeur sûre.
Lors de la transmission d’une entreprise il est important de penser à la valorisation des actifs immobiliers. En effet, certains avantages en découlent.
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L’expertise de valeur vénale réalisée par un professionnel, indépendant et objectif, permet au vendeur de mener la vente de son bien immobilier sans le concours d’un intermédiaire, mais avec un degré de sécurité supérieur quant à la fixation du prix et quant aux informations à porter aux acquéreurs potentiels.
L’expertise immobilière permettra de sécuriser l’investisseur dans sa démarche puisqu’elle permettra de refléter la perception que peut avoir un investisseur de son « risque locatif » et de son probable « retour sur investissement », dans la durée.
Un rapport d’expertise est un document remplissant un certain formalisme. Il contient une étude environnementale, une étude de marché, il met en avant les caractéristiques du bien ainsi que les contraintes juridiques qui y sont attachées. Il fait état de la ou des méthodes appliquées pour déterminer la valeur vénale du bien. C’est un document formel et rigoureux ne laissant aucune place à l’interprétation.
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La clé de voûte d’une bonne transaction immobilière repose sur la fixation du prix de vente. Une connaissance trop légère du marché, des problématiques juridiques ou urbanistiques, attachés à chaque bien, ou encore, la non prise en compte des perspectives d’évolution ou de transformation du bien (hypothèse de création de valeur), sont des éléments qui peuvent conduire le vendeur à sous-évaluer ou surévaluer le bien qu’il souhaite mettre en vente. Pour déterminer la juste valeur d’un bien, il est capital de maîtriser les différentes composantes de cette valeur.
LAMY Evaluation : Expertise immobilière et de valeur vénale
Siège France – Lyon
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