Face à la crise du COVID 19, le marché de l’immobilier résidentiel parisien s’est montré résilient. En 2020, nous n’avons pas assisté à un effondrement du marché parisien.
Les mesures sanitaires successives ont conduit à une évolution de la demande. Elles ont également provoqué une baisse du nombre de ventes réalisées.
La crise sanitaire n’a pas eu d’impact significatif sur les prix. On constate seulement un arrêt de la tendance haussière de ces dernières années. Seul le marché locatif connaît un léger coup d’arrêt.
Depuis quelques années, on constate une tendance de fuite des acquéreurs parisiens vers d’autres villes d’Ile de France. Cette tendance s’est accrue en 2020. Le contexte sanitaire a ouvert les possibilités de télétravail. Les acquéreurs recherchent de plus en plus un cadre moins urbain. Ils se tournent vers des villes de moindre importance de la couronne de Paris et au-delà.
C’est notamment le croissant ouest qui bénéficie de cette tendance. Un peu plus de 20% des demandes d’acquéreurs franciliens sont tournées vers ce secteur. Il y aurait autant d’acquéreurs en recherche sur ce secteur que sur l’ensemble de Paris.
La crise sanitaire a conduit à une réduction de l’activité touristique. De nombreux propriétaires ont dû revoir leur stratégie de location. De nombreux biens autrefois loués de manière saisonnière sont passés en location sous bail classique. On constate donc une forte augmentation de l’offre de location disponible.
En Ile-de-France, on comptabilise 150 000 logements vendus de moins en 2020 comparé à l’année précédente. Il s’agit d’une baisse d’environ 15% du nombre de ventes. Toutefois le nombre de ventes réalisées est comparable au volume vendu au milieu des années 2010.
Pour la seule ville de Paris, le nombre de ventes a diminué de plus d’un tiers en 2020.
La baisse du nombre de transactions est la conséquence des périodes de confinement successives. Les acquéreurs n’ont pas pu visiter les biens pendant ces périodes. De plus, les différents confinements ont retardé les délais de signature. La baisse du volume de vente n’est donc pas la conséquence d’une défiance des acquéreurs.
Le prix des biens résidentiels parisiens n’a pas beaucoup été impacté par le contexte sanitaire.
Sur l’ensemble de l’année 2020, le prix moyen du mètre carré parisien a augmenté d’environ 5%. On note donc une augmentation des prix sur l’année 2020. Toutefois, cette augmentation est en dessous de ce qu’a pu connaître le marché parisien sur la dernière décennie. Le COVID n’a donc pas provoqué de baisse de prix, mais il a ralenti la tendance haussière qu’a pu connaître la capitale ces dernières années.
A Paris, ce sont les 1er, 2ème, 10ème et 16ème arrondissements qui ont connu les meilleures variations. Les 6ème et 15ème arrondissements ont été les plus impactés, puisqu’on note qu’il n’y a eu aucune évolution significative des prix sur ces secteurs. Les prix sont restés stables.
Sur l’ensemble de l’Ile de France, les prix ont connu une hausse similaire au cours de l’année 2020. Le prix du mètre carré francilien a augmenté d’un peu plus de 6% sur l’année 2020.
Le marché des maisons est moins impacté que le marché des appartements. Les maisons parisiennes et franciliennes ont connu un attrait renforcé au cours de l’année 2020. Les acquéreurs préfèrent désormais se tourner vers des biens comprenant un jardin.
Au cours de l’année 2020, les loyers des logements parisiens ont légèrement baissé.
Cette tendance est notamment due à une augmentation de l’offre. Comme évoqué précédemment, du fait de la baisse de l’activité touristique, de nombreux propriétaires parisiens ont dû proposer leur logement sur le marché locatif traditionnel. Ces biens étaient auparavant réservés à des locations de courte durée pour les touristes.
On constate également une baisse de la demande en studio. Beaucoup moins d’étudiants ont demandé à louer un studio sur l’année 2020. La baisse de loyer touche donc notamment les studios.
Ce sont les 4ème, 6ème et 10ème arrondissements qui ont été le plus impactés par ce phénomène.
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Face à la crise du COVID 19, le marché de l’immobilier résidentiel parisien s’est montré résilient. En 2020, nous n’avons pas assisté à un effondrement du marché parisien.
Les mesures sanitaires successives ont conduit à une évolution de la demande. Elles ont également provoqué une baisse du nombre de ventes réalisées.
La crise sanitaire n’a pas eu d’impact significatif sur les prix. On constate seulement un arrêt de la tendance haussière de ces dernières années. Seul le marché locatif connaît un léger coup d’arrêt.
Depuis quelques années, on constate une tendance de fuite des acquéreurs parisiens vers d’autres villes d’Ile de France. Cette tendance s’est accrue en 2020. Le contexte sanitaire a ouvert les possibilités de télétravail. Les acquéreurs recherchent de plus en plus un cadre moins urbain. Ils se tournent vers des villes de moindre importance de la couronne de Paris et au-delà.
C’est notamment le croissant ouest qui bénéficie de cette tendance. Un peu plus de 20% des demandes d’acquéreurs franciliens sont tournées vers ce secteur. Il y aurait autant d’acquéreurs en recherche sur ce secteur que sur l’ensemble de Paris.
La crise sanitaire a conduit à une réduction de l’activité touristique. De nombreux propriétaires ont dû revoir leur stratégie de location. De nombreux biens autrefois loués de manière saisonnière sont passés en location sous bail classique. On constate donc une forte augmentation de l’offre de location disponible.
En Ile-de-France, on comptabilise 150 000 logements vendus de moins en 2020 comparé à l’année précédente. Il s’agit d’une baisse d’environ 15% du nombre de ventes. Toutefois le nombre de ventes réalisées est comparable au volume vendu au milieu des années 2010.
Pour la seule ville de Paris, le nombre de ventes a diminué de plus d’un tiers en 2020.
La baisse du nombre de transactions est la conséquence des périodes de confinement successives. Les acquéreurs n’ont pas pu visiter les biens pendant ces périodes. De plus, les différents confinements ont retardé les délais de signature. La baisse du volume de vente n’est donc pas la conséquence d’une défiance des acquéreurs.
Le prix des biens résidentiels parisiens n’a pas beaucoup été impacté par le contexte sanitaire.
Sur l’ensemble de l’année 2020, le prix moyen du mètre carré parisien a augmenté d’environ 5%. On note donc une augmentation des prix sur l’année 2020. Toutefois, cette augmentation est en dessous de ce qu’a pu connaître le marché parisien sur la dernière décennie. Le COVID n’a donc pas provoqué de baisse de prix, mais il a ralenti la tendance haussière qu’a pu connaître la capitale ces dernières années.
A Paris, ce sont les 1er, 2ème, 10ème et 16ème arrondissements qui ont connu les meilleures variations. Les 6ème et 15ème arrondissements ont été les plus impactés, puisqu’on note qu’il n’y a eu aucune évolution significative des prix sur ces secteurs. Les prix sont restés stables.
Sur l’ensemble de l’Ile de France, les prix ont connu une hausse similaire au cours de l’année 2020. Le prix du mètre carré francilien a augmenté d’un peu plus de 6% sur l’année 2020.
Le marché des maisons est moins impacté que le marché des appartements. Les maisons parisiennes et franciliennes ont connu un attrait renforcé au cours de l’année 2020. Les acquéreurs préfèrent désormais se tourner vers des biens comprenant un jardin.
Au cours de l’année 2020, les loyers des logements parisiens ont légèrement baissé.
Cette tendance est notamment due à une augmentation de l’offre. Comme évoqué précédemment, du fait de la baisse de l’activité touristique, de nombreux propriétaires parisiens ont dû proposer leur logement sur le marché locatif traditionnel. Ces biens étaient auparavant réservés à des locations de courte durée pour les touristes.
On constate également une baisse de la demande en studio. Beaucoup moins d’étudiants ont demandé à louer un studio sur l’année 2020. La baisse de loyer touche donc notamment les studios.
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Un rapport d’expertise est un document remplissant un certain formalisme. Il contient une étude environnementale, une étude de marché, il met en avant les caractéristiques du bien ainsi que les contraintes juridiques qui y sont attachées. Il fait état de la ou des méthodes appliquées pour déterminer la valeur vénale du bien. C’est un document formel et rigoureux ne laissant aucune place à l’interprétation.
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La clé de voûte d’une bonne transaction immobilière repose sur la fixation du prix de vente. Une connaissance trop légère du marché, des problématiques juridiques ou urbanistiques, attachés à chaque bien, ou encore, la non prise en compte des perspectives d’évolution ou de transformation du bien (hypothèse de création de valeur), sont des éléments qui peuvent conduire le vendeur à sous-évaluer ou surévaluer le bien qu’il souhaite mettre en vente. Pour déterminer la juste valeur d’un bien, il est capital de maîtriser les différentes composantes de cette valeur.
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