Le contexte sanitaire a eu très peu d’impact sur le marché de l’immobilier résidentiel lyonnais.
Lamy Expertise vous présente, au travers de cet article, l’évolution sur l’année 2020 de plusieurs indicateurs significatifs.
Le contexte sanitaire a influé sur la demande en immobilier résidentiel. Le comportement des acquéreurs a changé. Ceux-ci se tournent de plus en plus vers des maisons avec jardin en banlieue. Les appartements disposant d’un grand extérieur ont également été plus recherchés.
De nombreuses agences immobilières des villes de la périphérie lyonnaise ont constaté une augmentation des demandes sur les maisons avec jardin. Cette tendance s’explique par l’ouverture des possibilités de télétravail. Certains occupants d’appartements en centre-ville ont mal vécu les confinements successifs.
Certains investisseurs ont décidé de remettre à plus tard leur projet. Il s’agit notamment d’investisseurs tournés vers des logements étudiants et des logements destinés aux touristes.
En 2020, le nombre de ventes de biens anciens sur Lyon a diminué d’environ 10% comparé à l’année précédente. Cette baisse du nombre de vente est à relativiser car le volume de ventes réalisés en 2019 avait été particulièrement haut.
Pendant les périodes de confinement, les acquéreurs n’ont pas pu visiter les biens. De plus, les délais de signature se sont allongés. La baisse du volume de vente est plus la conséquence d’un effet mécanique qu’une défiance des acquéreurs vis-à-vis du marché immobilier.
Ce sont les petites surfaces qui ont été le plus impactés par la baisse du nombre de ventes. L’investissement sur des studios destinés aux étudiants a été moindre.
Le marché de l’immobilier neuf a été particulièrement impacté en 2020. Le nombre de biens neufs vendu est d’un peu moins de 3000. De plus, les mesures sanitaires ont provoqué un ralentissement de l’attribution des permis de construire. On dénombre un nombre de réservations en chute de plus d’un tiers.
Du fait du contexte sanitaire, la plupart des grandes métropoles françaises ont connu un ralentissement de l’augmentation des prix de vente des biens résidentiels. Lyon est en contraste avec ce constat.
Le prix moyen du mètre carré des biens résidentiels lyonnais a augmenté d’un peu moins de 9%. Ce résultat est supérieur aux résultats constatés sur des villes de taille équivalente : Paris (environ +5%), Marseille (environ +4%), Bordeaux (environ +5%), Lille (environ +2%).
La hausse des prix des biens lyonnais est légèrement inférieure aux évolutions annuelles constatées depuis le milieu des années 2010. La crise sanitaire n’a donc pas eu d’impact significatif sur le prix des biens résidentiels lyonnais.
En comparaison des autres grandes villes françaises, Lyon n’a donc pas connu un ralentissement de l’augmentation du prix moyen au mètre carré.
En 2020 le prix moyen du mètre carré lyonnais reste le second le plus élevé de France derrière Paris. Selon une étude des Notaires de France, le mètre carré lyonnais se vend en moyenne à environ 4 900 €.
Comme évoqué précédemment, la demande d’achat a évolué du fait du contexte sanitaire. Les acquéreurs se sont davantage tournés vers des maisons. Ainsi le prix des maisons lyonnaises a augmenté en moyenne d’environ 12%. Le prix des maisons a donc augmenté davantage que le prix des appartements. Historiquement c’est une première.
C’est le 9ème arrondissement qui présente la hausse la plus importante. Le prix des biens a augmenté en moyenne de plus de 15%. Les 4ème et 5ème arrondissements présentent des résultats en deçà de la tendance générale. Toutefois, sur ces deux secteurs les prix restent en hausse de plus de 5%.
Le contexte sanitaire n’a pas eu d’impact significatif sur l’évolution des loyers lyonnais. En 2020, on constate une hausse des loyers pratiqués par rapport à l’année précédente. On constate même une hausse supérieure à l’évolution des loyers sur l’année 2019.
Une étude réalisée sur les trois premiers trimestres de l’année 2020 révèle une hausse des loyers pour toutes les catégories de biens. Sur l’ensemble de la commune de Lyon, le loyer des studios a augmenté d’environ 5%. Le loyer des 2 pièces a augmenté d’environ 6,5%. Le loyer des 3 pièces a augmenté d’environ 8%. Le loyer des biens de 4 pièces ou plus a augmenté d’environ 6,5%. On note donc qu’en général, plus le bien est grand, plus l’augmentation de loyer constatée sur les 3 premiers trimestres de 2020 est importante.
La plus grande augmentation du loyer moyen a été constatée sur les 1er et 5ème arrondissements. On note une augmentation d’un peu plus de 12% sur le 1er arrondissement. Les loyers ont en moyenne augmenté d’environ 11% sur le 5ème arrondissement.
Les 4ème et 7ème arrondissements présentent un résultat en rupture avec cette tendance haussière. Le loyer moyen a diminué d’environ 0,5% sur le 4ème arrondissement. La hausse des loyers n’a été que d’environ 1,5% sur le 7ème arrondissement.
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Le contexte sanitaire a eu très peu d’impact sur le marché de l’immobilier résidentiel lyonnais.
Lamy Expertise vous présente, au travers de cet article, l’évolution sur l’année 2020 de plusieurs indicateurs significatifs.
Le contexte sanitaire a influé sur la demande en immobilier résidentiel. Le comportement des acquéreurs a changé. Ceux-ci se tournent de plus en plus vers des maisons avec jardin en banlieue. Les appartements disposant d’un grand extérieur ont également été plus recherchés.
De nombreuses agences immobilières des villes de la périphérie lyonnaise ont constaté une augmentation des demandes sur les maisons avec jardin. Cette tendance s’explique par l’ouverture des possibilités de télétravail. Certains occupants d’appartements en centre-ville ont mal vécu les confinements successifs.
Certains investisseurs ont décidé de remettre à plus tard leur projet. Il s’agit notamment d’investisseurs tournés vers des logements étudiants et des logements destinés aux touristes.
En 2020, le nombre de ventes de biens anciens sur Lyon a diminué d’environ 10% comparé à l’année précédente. Cette baisse du nombre de vente est à relativiser car le volume de ventes réalisés en 2019 avait été particulièrement haut.
Pendant les périodes de confinement, les acquéreurs n’ont pas pu visiter les biens. De plus, les délais de signature se sont allongés. La baisse du volume de vente est plus la conséquence d’un effet mécanique qu’une défiance des acquéreurs vis-à-vis du marché immobilier.
Ce sont les petites surfaces qui ont été le plus impactés par la baisse du nombre de ventes. L’investissement sur des studios destinés aux étudiants a été moindre.
Le marché de l’immobilier neuf a été particulièrement impacté en 2020. Le nombre de biens neufs vendu est d’un peu moins de 3000. De plus, les mesures sanitaires ont provoqué un ralentissement de l’attribution des permis de construire. On dénombre un nombre de réservations en chute de plus d’un tiers.
Du fait du contexte sanitaire, la plupart des grandes métropoles françaises ont connu un ralentissement de l’augmentation des prix de vente des biens résidentiels. Lyon est en contraste avec ce constat.
Le prix moyen du mètre carré des biens résidentiels lyonnais a augmenté d’un peu moins de 9%. Ce résultat est supérieur aux résultats constatés sur des villes de taille équivalente : Paris (environ +5%), Marseille (environ +4%), Bordeaux (environ +5%), Lille (environ +2%).
La hausse des prix des biens lyonnais est légèrement inférieure aux évolutions annuelles constatées depuis le milieu des années 2010. La crise sanitaire n’a donc pas eu d’impact significatif sur le prix des biens résidentiels lyonnais.
En comparaison des autres grandes villes françaises, Lyon n’a donc pas connu un ralentissement de l’augmentation du prix moyen au mètre carré.
En 2020 le prix moyen du mètre carré lyonnais reste le second le plus élevé de France derrière Paris. Selon une étude des Notaires de France, le mètre carré lyonnais se vend en moyenne à environ 4 900 €.
Comme évoqué précédemment, la demande d’achat a évolué du fait du contexte sanitaire. Les acquéreurs se sont davantage tournés vers des maisons. Ainsi le prix des maisons lyonnaises a augmenté en moyenne d’environ 12%. Le prix des maisons a donc augmenté davantage que le prix des appartements. Historiquement c’est une première.
C’est le 9ème arrondissement qui présente la hausse la plus importante. Le prix des biens a augmenté en moyenne de plus de 15%. Les 4ème et 5ème arrondissements présentent des résultats en deçà de la tendance générale. Toutefois, sur ces deux secteurs les prix restent en hausse de plus de 5%.
Le contexte sanitaire n’a pas eu d’impact significatif sur l’évolution des loyers lyonnais. En 2020, on constate une hausse des loyers pratiqués par rapport à l’année précédente. On constate même une hausse supérieure à l’évolution des loyers sur l’année 2019.
Une étude réalisée sur les trois premiers trimestres de l’année 2020 révèle une hausse des loyers pour toutes les catégories de biens. Sur l’ensemble de la commune de Lyon, le loyer des studios a augmenté d’environ 5%. Le loyer des 2 pièces a augmenté d’environ 6,5%. Le loyer des 3 pièces a augmenté d’environ 8%. Le loyer des biens de 4 pièces ou plus a augmenté d’environ 6,5%. On note donc qu’en général, plus le bien est grand, plus l’augmentation de loyer constatée sur les 3 premiers trimestres de 2020 est importante.
La plus grande augmentation du loyer moyen a été constatée sur les 1er et 5ème arrondissements. On note une augmentation d’un peu plus de 12% sur le 1er arrondissement. Les loyers ont en moyenne augmenté d’environ 11% sur le 5ème arrondissement.
Les 4ème et 7ème arrondissements présentent un résultat en rupture avec cette tendance haussière. Le loyer moyen a diminué d’environ 0,5% sur le 4ème arrondissement. La hausse des loyers n’a été que d’environ 1,5% sur le 7ème arrondissement.
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Face à la crise du COVID 19, le marché de l’immobilier résidentiel de Paris s’est montré résilient. On assiste cependant à une évolution de la demande.
Bien que impacté, le marché de l’immobilier tertiaire de Lyon s’est montré résilient sur l’année 2020. Une tendance générale se dessine pour l’année 2020.
Une société en développement peut évaluer ses biens pour avoir de la transparence et se conforter dans les décisions d’investissements.
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L’expertise de valeur vénale réalisée par un professionnel, indépendant et objectif, permet au vendeur de mener la vente de son bien immobilier sans le concours d’un intermédiaire, mais avec un degré de sécurité supérieur quant à la fixation du prix et quant aux informations à porter aux acquéreurs potentiels.
L’expertise immobilière permettra de sécuriser l’investisseur dans sa démarche puisqu’elle permettra de refléter la perception que peut avoir un investisseur de son « risque locatif » et de son probable « retour sur investissement », dans la durée.
Un rapport d’expertise est un document remplissant un certain formalisme. Il contient une étude environnementale, une étude de marché, il met en avant les caractéristiques du bien ainsi que les contraintes juridiques qui y sont attachées. Il fait état de la ou des méthodes appliquées pour déterminer la valeur vénale du bien. C’est un document formel et rigoureux ne laissant aucune place à l’interprétation.
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La clé de voûte d’une bonne transaction immobilière repose sur la fixation du prix de vente. Une connaissance trop légère du marché, des problématiques juridiques ou urbanistiques, attachés à chaque bien, ou encore, la non prise en compte des perspectives d’évolution ou de transformation du bien (hypothèse de création de valeur), sont des éléments qui peuvent conduire le vendeur à sous-évaluer ou surévaluer le bien qu’il souhaite mettre en vente. Pour déterminer la juste valeur d’un bien, il est capital de maîtriser les différentes composantes de cette valeur.
LAMY Evaluation : Expertise immobilière et de valeur vénale
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