L’achat d’un bien immobilier demande réflexion avant tout investissement. Mais entre les prix qui ont subi une hausse de 144% entre 1998 et 2008 contre un pouvoir d’achat qui n’a augmenté que de 12%, les français peinent à se lancer dans un projet immobilier. Connaître quelques astuces permet d’acheter plus sereinement.
Pour réaliser 50% à 60% d’économies, l’acquéreur peut se lancer en tant que nu-propriétaire. Cela implique qu’il ne peut jouir de son bien durant 15 à 20 ans, période à laquelle l’impôt foncier est à la charge de l’usufruitier. Dans le même esprit, il est envisageable de se proposer comme nouveau propriétaire d’un bien déjà habité. Dans ce cas, le rabais va de 5 à 15% mais il faut d’abord s’assurer que les locataires soient bons payeurs.
Acheter un commerce pour en faire une habitation permet de négocier le prix pour 20% moins cher. Sinon, les défauts comme une absence d’ascenseur, la nécessité de refaire la toiture ou de remettre l’électricité aux normes permet également d’économiser jusqu’à 15%. Plus les travaux qui s’imposent sont importants et plus il est facile d’obtenir une décote.
Dans certaines circonstance, les héritiers peinent à s’accorder sur la gestion ou la succession d’un bien. Ils se tournent donc vers la vente aux enchères. C’est une option intéressante en zone rurale du fait que le marché immobilier n’y est pas correctement présenté. D’autre part, il y a les personnes âgées qui souhaitent vendre leur bien. Après signature, le montant versé par l’acheteur est de 30 à 40% inférieur à la valeur nominale. Cette lacune est versée chaque mois au vendeur, jusqu’à son décès. Pour un recours au système viager, l’âge du vendeur sera déterminant.
Il est évident qu’un projet immobilier est onéreux. Mais les acquéreurs ont la possibilité d’acheter un bien à plusieurs afin de restreindre les dépenses. Que l’achat se fasse avec de parfaits inconnus ou entre amis, il est tout de même plus judicieux de créer une SCI (Société Civile Immobilière) afin d’éviter les conflits. Les aides financières à l’instar du PTZ+ (Prêt à Taux Zéro plus) ne sont pas à négliger car elles permettent une acquisition avec un apport personnel relativement faible.
Les notaires savent tout. En sympathisant avec ces officiers publics, les acheteurs ont plus de chance de tomber sur les bonnes affaires. Ils peuvent également conseiller dans les négociations, sachant que le marchandage doit toujours se faire dans des conditions justes, au regard du marché. Si l’acheteur cherche un rabais trop conséquent par rapport au potentiel du bien convoité, il risque de s’en mordre les doigts. A défaut de connaître un notaire, il est vivement conseillé de faire appel à un expert immobilier indépendant. Ce dernier évaluera les atouts et les défauts du bien, ce qui simplifiera la détermination d’un prix acceptable.
Le marché de l’immobilier est plombé par une économie française en crise. Diminution du pouvoir d’achat, chômage, endettement des ménages, … Considérant cela, il apparaît plus compliqué qu’avant, de vendre un bien immobilier. Les acquéreurs, de plus en plus méfiants, font moins confiance aux agents immobiliers. Ils sont à la fois exigeants sur les qualités du bien, sur sa situation géographique et, de surcroît, négocient les prix et surtout repoussent souvent leur projet immobilier à un hypothétique avenir plus souriant. Les délais de vente s’allongent et les stocks de maisons et d’appartements augmentent depuis 2008. Heureusement, avec quelques astuces, vous augmenterez vos chances de bien vendre votre bien immobilier.
Qu’il s’agisse de l’achat d’un téléphone, d’une voiture ou d’une maison, les comportements vis-à-vis des prix sont symétriques : l’acquéreur veut minimiser son investissement pour un produit malgré tout au top. Le vendeur, lui, poursuit un objectif contraire. Il veut vendre au meilleur prix. Et, face à cet objectif, il est facile d’avoir une vision optimiste du marché, mais également tentant de fixer un prix 20 ou 30% plus haut que sa valeur. Nous vous aidons à évaluer la valeur de votre maison en toute indépendance. Afin d’éviter que votre bien ne soit catalogué, dans l’esprit des acquéreurs potentiels, comme le « bien qui ne se vend pas », ou comme “la maison qui a des défauts”.
En général, dans la vie de tous les jours, on se fie à nos premières impressions. Pas d’exception pour l’immobilier. Une brève visite de la maison suffit à l’acquéreur potentiel pour savoir si le bien lui plaît ou non. Des photos sur un site d’annonces immobilières peuvent aussi suffire. Pour mieux vendre votre maison, dépersonnalisez les lieux, en appliquant des conseils de home staging : peu de meubles, pas de bibelots, des pièces plutôt aérées. Profitez-en pour ranger dans un carton les rideaux jaunes et roses que tante Suzanne vous a offert. Vous donnerez le signal aux acheteurs que vous êtes vraiment prêt à vendre.
Vendre son bien immobilier en direct ou donner un mandat à une agence immobilière, telle est la question. L’arbitrage est principalement lié au facteur du délai de vente souhaité. Si vous êtes pressé, l’agence vous simplifiera la tache en réalisant certaines opérations à votre place : mettre en ligne les annonces immobilières, échanger avec les acquéreurs intéressés et leur fournir des renseignements, réaliser des visites, etc. Seul, ou avec l’aide d’un intermédiaire, il faut s’occuper sérieusement de la mise en vente de son bien et, surtout, définir le “bon prix”.
Signification des diagnostics immobiliers, évaluation de la gravité des fissures, montant de la taxe foncière, travaux d’entretien récemment réalisés, etc. Pour rassurer ou donner envie d’acheter, mieux vaut être bien préparé à répondre aux questions de l’acquéreur. Préparez votre dossier, si besoin, avec l’aide d’un expert immobilier. Soyez précis et transparent dans vos réponses, y compris en cas de questions plus subjectives. Par exemple, si on vous interroge sur le voisinage, dites que “vous ne fréquentez pas vraiment vos voisins », plutôt que de bafouiller un mensonge, qui risquerait de faire hésiter votre interlocuteur.
Une maison en vente à 450.000 euros sera difficilement accessible à un jeune couple de primo-accédants. Bien sûr, il y a des exceptions. Cependant, pour vendre rapidement, commencez par faire le tri des demandes. Évaluez la chance d’aboutissement du projet et interrogez l’acquéreur sur ses intentions. Cela vous permettra de gagner du temps, tout en évitant des visites et discussions inutiles.
L’acquisition d’un bien immobilier est un projet d’envergure qu’il faut envisager sur le très long terme. Afin d’investir sereinement et judicieusement, il est bon de respecter quelques impératifs. Voici quelques conseils pour ne pas regretter sa transaction immobilière.
Commencer par établir un budget en déterminant le montant de votre apport personnel. Renseignez-vous ensuite sur les financements dont vous pourrez bénéficier :
Le prêt immobilier joue souvent un rôle capital dans les acquisitions d’habitat. Même si les organismes de financement sont multiples, il est recommandé de comparer leurs propositions avec soin. En outre, solliciter un courtier en crédit immobilier s’avère judicieux. Notez que la valeur maximum du crédit qui vous sera octroyé dépend de votre capacité de remboursement. Les mensualités sont limitées à 33% des revenus.
Chaque visite est intéressante à sa façon. Mais il ne faut pas se laisser distraire par les premières impressions. Une attention particulière doit en effet être accordée aux détails comme l’exposition de chaque pièce, l’organisation générale, la disponibilité d’un garage ou un parking et ainsi de suite. Ne pas hésiter à s’informer sur les dépenses mensuelles à prévoir, de même que le montant des contributions que vous devrez à l’assemblée générale de copropriété. Inspectez également les moindres recoins du logement pour éviter les désagréments.
Il est vrai que vous allez avant tout vivre entre quatre murs : l’habitation. Mais au-delà, il y a une rue, tout un quartier et un environnement nouveau. Se projeter dans l’avenir est important. Il faut s’imaginer au quotidien dans cette localité. Transports en commun, centres de loisirs, écoles, parcs… pensez à tout ce dont vous aurez besoin ainsi que les désagréments que les bars/clubs et débits de boisson pourraient causer. Votre confort est un point non négligeable dans le choix d’un logement.
Le processus est assez long. D’un côté, il y a le vendeur, de l’autre, l’acquéreur. Les deux parties devront convenir du prix et donc faire des compromis. Par contre, la promesse de vente dépend exclusivement du vendeur.
Prévoyez une issue au cas où l’organisme sollicité vous refuserait le crédit demandé. Le compromis a donc toute sa raison d’être.
La signature de l’acte de vente chez le notaire ne s’effectue que trois mois après votre achat immobilier. Les détails afférents à l’appartement et les clauses financières sont stipulés dans cet acte.
Des frais de notaires seront à votre charge. Incluez-les donc dans votre estimation budgétaire. Faites confiance à l’expertise de ce professionnel pour vous aider à éclaircir les détails que vous avez du mal à comprendre. Maintenant que toutes les informations sont à votre disposition, il ne vous reste plus qu’à trouver l’appartement de vos rêves.
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L’achat d’un bien immobilier demande réflexion avant tout investissement. Mais entre les prix qui ont subi une hausse de 144% entre 1998 et 2008 contre un pouvoir d’achat qui n’a augmenté que de 12%, les français peinent à se lancer dans un projet immobilier. Connaître quelques astuces permet d’acheter plus sereinement.
Pour réaliser 50% à 60% d’économies, l’acquéreur peut se lancer en tant que nu-propriétaire. Cela implique qu’il ne peut jouir de son bien durant 15 à 20 ans, période à laquelle l’impôt foncier est à la charge de l’usufruitier. Dans le même esprit, il est envisageable de se proposer comme nouveau propriétaire d’un bien déjà habité. Dans ce cas, le rabais va de 5 à 15% mais il faut d’abord s’assurer que les locataires soient bons payeurs.
Acheter un commerce pour en faire une habitation permet de négocier le prix pour 20% moins cher. Sinon, les défauts comme une absence d’ascenseur, la nécessité de refaire la toiture ou de remettre l’électricité aux normes permet également d’économiser jusqu’à 15%. Plus les travaux qui s’imposent sont importants et plus il est facile d’obtenir une décote.
Dans certaines circonstance, les héritiers peinent à s’accorder sur la gestion ou la succession d’un bien. Ils se tournent donc vers la vente aux enchères. C’est une option intéressante en zone rurale du fait que le marché immobilier n’y est pas correctement présenté. D’autre part, il y a les personnes âgées qui souhaitent vendre leur bien. Après signature, le montant versé par l’acheteur est de 30 à 40% inférieur à la valeur nominale. Cette lacune est versée chaque mois au vendeur, jusqu’à son décès. Pour un recours au système viager, l’âge du vendeur sera déterminant.
Il est évident qu’un projet immobilier est onéreux. Mais les acquéreurs ont la possibilité d’acheter un bien à plusieurs afin de restreindre les dépenses. Que l’achat se fasse avec de parfaits inconnus ou entre amis, il est tout de même plus judicieux de créer une SCI (Société Civile Immobilière) afin d’éviter les conflits. Les aides financières à l’instar du PTZ+ (Prêt à Taux Zéro plus) ne sont pas à négliger car elles permettent une acquisition avec un apport personnel relativement faible.
Les notaires savent tout. En sympathisant avec ces officiers publics, les acheteurs ont plus de chance de tomber sur les bonnes affaires. Ils peuvent également conseiller dans les négociations, sachant que le marchandage doit toujours se faire dans des conditions justes, au regard du marché. Si l’acheteur cherche un rabais trop conséquent par rapport au potentiel du bien convoité, il risque de s’en mordre les doigts. A défaut de connaître un notaire, il est vivement conseillé de faire appel à un expert immobilier indépendant. Ce dernier évaluera les atouts et les défauts du bien, ce qui simplifiera la détermination d’un prix acceptable.
Le marché de l’immobilier est plombé par une économie française en crise. Diminution du pouvoir d’achat, chômage, endettement des ménages, … Considérant cela, il apparaît plus compliqué qu’avant, de vendre un bien immobilier. Les acquéreurs, de plus en plus méfiants, font moins confiance aux agents immobiliers. Ils sont à la fois exigeants sur les qualités du bien, sur sa situation géographique et, de surcroît, négocient les prix et surtout repoussent souvent leur projet immobilier à un hypothétique avenir plus souriant. Les délais de vente s’allongent et les stocks de maisons et d’appartements augmentent depuis 2008. Heureusement, avec quelques astuces, vous augmenterez vos chances de bien vendre votre bien immobilier.
Qu’il s’agisse de l’achat d’un téléphone, d’une voiture ou d’une maison, les comportements vis-à-vis des prix sont symétriques : l’acquéreur veut minimiser son investissement pour un produit malgré tout au top. Le vendeur, lui, poursuit un objectif contraire. Il veut vendre au meilleur prix. Et, face à cet objectif, il est facile d’avoir une vision optimiste du marché, mais également tentant de fixer un prix 20 ou 30% plus haut que sa valeur. Nous vous aidons à évaluer la valeur de votre maison en toute indépendance. Afin d’éviter que votre bien ne soit catalogué, dans l’esprit des acquéreurs potentiels, comme le « bien qui ne se vend pas », ou comme “la maison qui a des défauts”.
En général, dans la vie de tous les jours, on se fie à nos premières impressions. Pas d’exception pour l’immobilier. Une brève visite de la maison suffit à l’acquéreur potentiel pour savoir si le bien lui plaît ou non. Des photos sur un site d’annonces immobilières peuvent aussi suffire. Pour mieux vendre votre maison, dépersonnalisez les lieux, en appliquant des conseils de home staging : peu de meubles, pas de bibelots, des pièces plutôt aérées. Profitez-en pour ranger dans un carton les rideaux jaunes et roses que tante Suzanne vous a offert. Vous donnerez le signal aux acheteurs que vous êtes vraiment prêt à vendre.
Vendre son bien immobilier en direct ou donner un mandat à une agence immobilière, telle est la question. L’arbitrage est principalement lié au facteur du délai de vente souhaité. Si vous êtes pressé, l’agence vous simplifiera la tache en réalisant certaines opérations à votre place : mettre en ligne les annonces immobilières, échanger avec les acquéreurs intéressés et leur fournir des renseignements, réaliser des visites, etc. Seul, ou avec l’aide d’un intermédiaire, il faut s’occuper sérieusement de la mise en vente de son bien et, surtout, définir le “bon prix”.
Signification des diagnostics immobiliers, évaluation de la gravité des fissures, montant de la taxe foncière, travaux d’entretien récemment réalisés, etc. Pour rassurer ou donner envie d’acheter, mieux vaut être bien préparé à répondre aux questions de l’acquéreur. Préparez votre dossier, si besoin, avec l’aide d’un expert immobilier. Soyez précis et transparent dans vos réponses, y compris en cas de questions plus subjectives. Par exemple, si on vous interroge sur le voisinage, dites que “vous ne fréquentez pas vraiment vos voisins », plutôt que de bafouiller un mensonge, qui risquerait de faire hésiter votre interlocuteur.
Une maison en vente à 450.000 euros sera difficilement accessible à un jeune couple de primo-accédants. Bien sûr, il y a des exceptions. Cependant, pour vendre rapidement, commencez par faire le tri des demandes. Évaluez la chance d’aboutissement du projet et interrogez l’acquéreur sur ses intentions. Cela vous permettra de gagner du temps, tout en évitant des visites et discussions inutiles.
L’acquisition d’un bien immobilier est un projet d’envergure qu’il faut envisager sur le très long terme. Afin d’investir sereinement et judicieusement, il est bon de respecter quelques impératifs. Voici quelques conseils pour ne pas regretter sa transaction immobilière.
Commencer par établir un budget en déterminant le montant de votre apport personnel. Renseignez-vous ensuite sur les financements dont vous pourrez bénéficier :
Le prêt immobilier joue souvent un rôle capital dans les acquisitions d’habitat. Même si les organismes de financement sont multiples, il est recommandé de comparer leurs propositions avec soin. En outre, solliciter un courtier en crédit immobilier s’avère judicieux. Notez que la valeur maximum du crédit qui vous sera octroyé dépend de votre capacité de remboursement. Les mensualités sont limitées à 33% des revenus.
Chaque visite est intéressante à sa façon. Mais il ne faut pas se laisser distraire par les premières impressions. Une attention particulière doit en effet être accordée aux détails comme l’exposition de chaque pièce, l’organisation générale, la disponibilité d’un garage ou un parking et ainsi de suite. Ne pas hésiter à s’informer sur les dépenses mensuelles à prévoir, de même que le montant des contributions que vous devrez à l’assemblée générale de copropriété. Inspectez également les moindres recoins du logement pour éviter les désagréments.
Il est vrai que vous allez avant tout vivre entre quatre murs : l’habitation. Mais au-delà, il y a une rue, tout un quartier et un environnement nouveau. Se projeter dans l’avenir est important. Il faut s’imaginer au quotidien dans cette localité. Transports en commun, centres de loisirs, écoles, parcs… pensez à tout ce dont vous aurez besoin ainsi que les désagréments que les bars/clubs et débits de boisson pourraient causer. Votre confort est un point non négligeable dans le choix d’un logement.
Le processus est assez long. D’un côté, il y a le vendeur, de l’autre, l’acquéreur. Les deux parties devront convenir du prix et donc faire des compromis. Par contre, la promesse de vente dépend exclusivement du vendeur.
Prévoyez une issue au cas où l’organisme sollicité vous refuserait le crédit demandé. Le compromis a donc toute sa raison d’être.
La signature de l’acte de vente chez le notaire ne s’effectue que trois mois après votre achat immobilier. Les détails afférents à l’appartement et les clauses financières sont stipulés dans cet acte.
Des frais de notaires seront à votre charge. Incluez-les donc dans votre estimation budgétaire. Faites confiance à l’expertise de ce professionnel pour vous aider à éclaircir les détails que vous avez du mal à comprendre. Maintenant que toutes les informations sont à votre disposition, il ne vous reste plus qu’à trouver l’appartement de vos rêves.
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Le Lease-back immobilier, ou cession bail, est une alternative qui permet aux entreprises d’obtenir des liquidités dans un délai court.
Malgré l’absence de la clientèle étrangère, le marché des biens d’exception résiste bien au contexte actuel car c’est une valeur sûre.
Lors de la transmission d’une entreprise il est important de penser à la valorisation des actifs immobiliers. En effet, certains avantages en découlent.
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L’expertise de valeur vénale réalisée par un professionnel, indépendant et objectif, permet au vendeur de mener la vente de son bien immobilier sans le concours d’un intermédiaire, mais avec un degré de sécurité supérieur quant à la fixation du prix et quant aux informations à porter aux acquéreurs potentiels.
L’expertise immobilière permettra de sécuriser l’investisseur dans sa démarche puisqu’elle permettra de refléter la perception que peut avoir un investisseur de son « risque locatif » et de son probable « retour sur investissement », dans la durée.
Un rapport d’expertise est un document remplissant un certain formalisme. Il contient une étude environnementale, une étude de marché, il met en avant les caractéristiques du bien ainsi que les contraintes juridiques qui y sont attachées. Il fait état de la ou des méthodes appliquées pour déterminer la valeur vénale du bien. C’est un document formel et rigoureux ne laissant aucune place à l’interprétation.
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La clé de voûte d’une bonne transaction immobilière repose sur la fixation du prix de vente. Une connaissance trop légère du marché, des problématiques juridiques ou urbanistiques, attachés à chaque bien, ou encore, la non prise en compte des perspectives d’évolution ou de transformation du bien (hypothèse de création de valeur), sont des éléments qui peuvent conduire le vendeur à sous-évaluer ou surévaluer le bien qu’il souhaite mettre en vente. Pour déterminer la juste valeur d’un bien, il est capital de maîtriser les différentes composantes de cette valeur.
LAMY Evaluation : Expertise immobilière et de valeur vénale
Siège France – Lyon
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Siège Suisse – Lausanne
Rue mathurin-cordier 12
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